Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Le blog de G. VEZON, le.myosotis.de.septimanie.over-blog.com

Si elle est véritable, une Tradition initiatique parle tout autant aux hommes du XXIème siècle qu'aux hommes des autres temps. Née de la transcendance qui, en amont de l'espace et du temps, manifeste aux hommes la vérité de la Vie du Monde, une Tradition initiatique est forcément compréhensible par les hommes de tous les temps selon le langage propre à la temporalité culturelle de chacun d'eux. Ainsi, la Franc-maçonnerie, pour autant que ses pratiques sociétales n'obèrent pas entièrement l'essence initiatique qui est sa véritable raison d'être, peut-elle offrir un Chemin de Vie. Encore faut-il qu'un crédit de vérité lui soit accordé, y compris par ses propres membres, ce qui suppose qu'elle inscrive sa symbolique initiatique dans une cohérence de sens compatible avec l'intelligence du temps en lequel elle opère. Gilbert VEZON de Bérenguery, alias Raminagrobis de Septimanie, propose que nous réfléchissions ensemble autour de cette exigence.

REVENIR À L’AUTONOMIE DES LOGES

 La dislocation du système obédientiel, rigide et centralisé de la G.L.N.F., mis en place à partir de décembre 1997, a quelque chose de pathétique.

Des Provinces entières sont aujourd’hui en dissidence, des Loges sont abandonnées à elles-mêmes et ne reçoivent plus ni correspondances, ni directives cohérentes de la part de leurs officiers référents, certaines Loges ont proclamé leur rejet de la personne du Grand Maître actuel sans vraiment réaliser que dans un système traditionnel, l’occupation d’une fonction est une affaire de légitimité institutionnelle et non d’assentiment populaire. D’autres enfin, dont nous sommes, après avoir constaté l’illégitimité du système obédientiel actuel, ont décidé de revenir aux fondamentaux de la maçonnerie de la G.L.N.F., tels que proclamés par les fondateurs de cette obédience et inscrits dans les « Constitution et Règlement général » de 1986.

Dans ce désordre généralisé, certaines Loges supplient Me Monique Legrand, administratrice légale à vocation strictement gestionnaire, de sauver l’institution ; d’autres, lui adressent machinalement les formulaires administratifs et les compte rendus habituels des Loges, car ils ne savent plus à qui les adresser ; d’autres attendent que le salut vienne du Souverain Grand Comité avec lequel ils pensent pouvoir établir une relation d’influence, sans trop se demander ce qu’un tel organisme pourrait produire de bon ; d’autres ne savent pas trop, mais attendent que le « Chef providentiel » derrière lequel ils se sont rangés, trouve la solution « providentielle » digne de la confiance qu’ils mettent en lui.

Le « Chef providentiel » lui-même, attend que l’administratrice organise « des élections », sans d’ailleurs trop savoir lesquelles, ni sur quels fondements et en vertu de quels principes, ces élections pourraient être organisées autrement que dans les limites statutaires rappelées dans la mission donnée à l’administratrice par la justice civile ; et aussi, sans trop savoir non plus, en vertu de quels principes il pourrait lui-même présenter sa candidature à des élections qui ne sont pas ouvertes.

D’autres parmi les Grands Maîtres provinciaux invoquent pour sauver leur titre, après leur désaveu du Grand Maître, la légitimité intérimaire que leur fournirait un député Grand Maître démissionnaire.

Bref, plus personne ne sait à quel saint se vouer et chacun s’agite dans le désordre, selon le mouvement brownien que connaissent les particules de matière, lorsqu’elles se retrouvent livrées à elles-mêmes.

Apprendre l’autonomie des Loges

Comme on le voit, un vent de la panique souffle pour tous ceux qui, depuis plus d’une décennie, ont vécu avec l’idée que l’autonomie des Loges est une incongruité inventée par des maçons irréguliers.

Beaucoup de maçons ignorent en effet, que l’autonomie des Loges était la règle normale à la G.L.N.F,  depuis sa fondation statutaire en 1915, jusqu’à récemment en 1997, date à laquelle elle a été confisquée, pour des raisons aussi illégitimes qu’inavouables, faisant basculer notre obédience dans une dérive sectaire, profondément antimaçonnique.

Il est vrai que dans la culture issue du renversement de valeurs intervenu en 1997, les maçons obédientiels, ne peuvent concevoir l’activité maçonnique sans la supervision constante d’une obédience, distributrice à leurs yeux des bienfaits de la véritable maçonnerie.

C’est pourquoi, aujourd’hui, ils se retrouvent perdus et ne savent que faire.

Pour la première fois, ils se retrouvent seuls, contraints d’organiser par eux-mêmes leur vie maçonnique. Et c’est probablement ce qui va les sauver, car pour la première fois, par l’effet salutaire de la crise actuelle, les maçons obédientiels retrouvent les fondements traditionnels de la G.L.N.F.

Ils vont enfin comprendre, principe qu’ils connaissaient déjà et qu’ils répétaient souvent sans jamais s’autoriser à lui donner une portée véritable, que le véritable travail maçonnique, est un travail qui intervient dans une Loge, hors de toute ingérence obédientielle.

Refonder suppose un retour aux principes traditionnels invoqués par les fondateurs de l’obédience

A plusieurs reprises, nous avons marqué dans divers textes, notre différence d’analyse à propos de la crise institutionnelle que connaît notre obédience. Pour nous, les comportements du Grand Maître actuel et de ses proches, ne sont rien d’autre que le symptôme d’un mal profond, installé au cœur même de notre obédience. Nous pensons dès lors que changer la personne du Grand Maître ne changera rien, si demain, il devait être remplacé par un homme incapable de formuler un désir véritable de revenir à l’application des principes de la maçonnerie traditionnelle. Car ce n’est pas de « chef » dont nous avons besoin, quand bien même serait-il un « bon berger »

Pour refonder l’institution obédientielle, nous n’avons pas d’autre choix que celui consistant à revenir aux textes fondateurs, seuls capables de rétablir une saine pratique  de la maçonnerie.

Ainsi dans la Constitution de 1986, la centralisation administrative et comptable n’existe pas, puisque les Loges y sont autonomes. L’obédience cantonne ainsi ses activités, conformément aux statuts (Constitution et Règlement général) de 1986, à des cérémonies protocolaires, à des contrôles disciplinaires et déontologiques sur les Loges, et à des missions de représentation extérieure. Dans ce contexte la représentativité de l’obédience est confiée au maçon le plus qualifié pour remplir cette fonction.

Chasser les usurpateurs  et le système d’accaparement de pouvoir mis en  place en 1997.

Les positions de principe que nous énonçons ci-dessus, ne sont pas nouvelles. Nous les avons évoquées en diverses circonstances, bien avant que la révolte ne se déclenche ; bien avant que nous créions le blog du Myosotis de Septimanie ; et bien avant aussi que certains membres du Souverain Grand Comité ne se décident finalement à refuser ce qu’ils auraient du refuser, dès l’instant où les usurpateurs se sont emparés du pouvoir en 1997/1998.

Pour vous permettre de saisir le mécanisme précis de cette usurpation et le remplacement des valeurs obédientielles de tradition, par des valeurs contre-initiatiques, je vous propose de prendre en compte les sept questions suivantes : 

  1.  Est-il si difficile d’admettre que jusqu’en 1997, pendant 82 ans (voire 84 ans), les Loges de la G.L.N.F., ont été autonomes, y compris au plan de leur gestion temporelle, car la maçonnerie traditionnelle ne peut concevoir qu’une Loge véritable puisse fonctionner autrement ?
  2.  Est-il si difficile de comprendre que conformément à la maçonnerie traditionnelle, une Loge est d’abord créée par des maçons libres, pour être ensuite constituée et placée, sous une obédience, garante du respect par les Loges, des principes de la maçonnerie traditionnelle ?
  3. Est-il si difficile de relire les textes fondateurs de la Grande Loge Nationale Française pour se convaincre que l’adéquation de l’obédience avec les principes fondamentaux de la maçonnerie traditionnelle fut statutairement inscrite dans l’esprit et dans la lettre des Constitution et Règlement général, établis en 1915, maintenus en 1965 puis en 1986 ?
  4. Est-il si difficile de constater qu’en 1997-1998, sans que les Loges ou les membres des Loges en soient avertis, profitant à la fois de l’ignorance, de l’ambition, de l’incompétence de tous ceux qui auraient du s’opposer spontanément à toute violation des principes fondamentaux de la maçonnerie, un groupe d’usurpateurs a regroupé tous les maçons au sein d’une seule et même association obédientielle, en détachant chacun d’eux de sa Loge mère. (Assemblée générale extraordinaire constitutive du 3 décembre 1997, Statuts Art.6 : « L’association se compose de membres actifs groupés en Loges, elles mêmes regroupées en « Grandes Loges Provinciales ou en Grandes Loges de District »)
  5. Est-il si difficile de comprendre qu’au moment où il supprimait l’appartenance aux Loges et la remplaçait par une appartenance directe à l’obédience, le même groupe d’usurpateurs s’est octroyé « à vie », toutes les fonctions de gouvernance de l’obédience, ainsi que la possibilité de changer à sa guise les « Constitution et le Règlement général », lesquels sont passés de la condition de textes fondamentaux constitutifs de la maçonnerie de la  G.L.N.F., à l’état subalterne de règlement intérieur de la nouvelle association., ? (Assemblée générale extraordinaire constitutive du 3 décembre 1997, Statuts Art.3 : « L’association continue d’avoir pour but la mise en œuvre des idées, principes et règles exposés dans le préambule » et aussi, Art. 17 : « Règlement intérieur : Le règlement intérieur intitulé,  Constitution et Règlement Général de la Grande Loge Nationale Française, a été approuvé après refonte par l’Assemblée générale extraordinaire du 3 décembre 1997. Toute modification du Règlement intérieur peut être décidée par le Conseil d’Administration… »)
  6. Est-il si difficile de comprendre qu’une fois supprimée l’autonomie des Loges ; une fois en possession d’un pouvoir de commandement et de sanction direct sur tous les membres de l’association et en possession également de tous les leviers de commande de l’obédience, y compris la possibilité de modifier le Règlement intérieur, (autrement dit la « Constitution et le Règlement général »), les usurpateurs ont verrouillé leur pouvoir exclusif en façonnant, autour des notions de « chef spirituel » et « d’obéissance inconditionnelle », une « maçonnerie » de parade, hiérarchiquement soumise depuis le sommet jusqu’à la base, à des officiers jouissant de pouvoirs administratifs aussi bien que maçonniques, spécialement promus (et maintenus en fonction) en connivence avec la hiérarchie qui les a nommés?
  7. Est-il si difficile enfin de comprendre qu’une fois le « Règlement intérieur » modifié autour de cet absolutisme obédientiel, les usurpateurs ont parachevé leur nouvel édifice, en édictant lors de l’assemblée générale associative extraordinaire du 26 mars 2009, un texte institutionnel nouveau, appelé « Constitutions de l’Ordre », qu’ils ont replacé dans la position prééminente de recueil des principes supérieurs et immuables de l’obédience, auquel il convient selon eux, de se référer à nouveau, pour les questions maçonniques ? 
Retour aux institutions de la G.LN.F., telles qu’elles étaient avant l’usurpation de 1997 : les statuts de 1986.

Pour autant que l’on considère que les textes actuels sont légitimes, l’obédience est actuellement régie par deux séries de textes :

  • ·         Sur le plan opérationnel, elle est régie par des « Statuts et un règlement intérieur ».
  • ·         Sur le plan de son ordonnancement maçonnique, elle est régie, depuis mars 2009, par les « Constitutions de l’Ordre »

Cette organisation bipolaire dont l’objectif, quelque peu paranoïaque, visait à bien cadenasser le système autour de ses dirigeants,  n’est évidemment pas viable, sachant qu’à ce jour, la gestion administrative relève d’une administratrice judiciaire, totalement incompétente sur le plan du respect des règles « constitutionnelles » et sachant également que le respect des règles « constitutionnelles » dépend exclusivement de la considération que les membres soumis à ces constitutions, veulent bien accorder à ces règles.

 Dès lors, les textes obédientiels actuels conduisent à une impasse dont on ne peut sortir de façon cohérente que par un retour immédiat aux institutions G.L.N.F. de 1986. 

C’est la raison pour laquelle, nous examinerons plus en détail, la légitimité et les avantages de cette démarche, dans un prochain exposé.

 

RAMINAGROBIS

 

TEXTE EN FORMAT PDF

 

 

Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
B
<br /> This is the end,oh, my dear brothers!<br /> Oû poussait donc cette rose dont le parfum m'enchantait?<br /> Il existe un jardin qui n'a cessé de bercer mon âme et nous étions nus, comme des enfants insouciants, alors celle que je pris pour ma mère me griffa et une goutte couleur rubis m'effraya.<br /> Gédéon...<br /> <br /> <br />
Répondre
R
<br /> <br /> Pourquoi pas, Apocalypse now ?<br /> <br /> <br /> <br />
E
<br /> • « Qu’êtes vous venu faire en Maçonnerie?<br /> • Vaincre mes passions et soumettre ma volonté. »<br /> En ce qui concerne le (G.M.), cette réponse était son premier mensonge, la première tromperie en direction de « ses frères », et il a construit sa maçonnerie autour de ce mensonge primordial : En<br /> louvoyant parfaitement, en courbant l’échine souvent, il a séduit ses supérieurs hiérarchiques et a fait une carrière rapide qui l’a conduit à la Grande Maîtrise. Il avait atteint son but, source<br /> de jouissance ultime et infinie, sans cesse renouvelée : Vivre ses passions inavouables sans culpabilité et soumettre le monde (son monde) à sa volonté. Les frontières hexagonales étant trop<br /> limitées c’est avec délectation qu’il a entrepris d’assoir son pouvoir sur l’Afrique, la Principauté de Monaco, l’Asie : Le monde étant limité, il serait plus approprié de parler de conquête de<br /> l’Univers, de la recherche d’un pouvoir Urbi et Orbi !<br /> Les 2 anciens G.M croyaient avoir trouvé chez lui un factotum simplet, un homme de paille facilement achetable et déjà acheté, une marionnette qu’ils pourraient manipuler à leur guise mais arrivé<br /> au but le (G.M.) a voulu toute Sa place et ce sont ses deux prédécesseurs qui sont devenus ses marionnettes, prêtes à tout accepter, croyant qu’ainsi elles éviteraient le grand risque que la vérité<br /> soit faite sur toute une organisation opaque, pour ne pas dire très secrète aux buts très éloignés de ceux de la Franc-Maçonnerie et orientée pendant leurs mandats respectifs, avant tout, vers leur<br /> bénéfice exclusif.<br /> Cette chaîne d’union des turpitudes est, malheureusement pour eux, au bord de la rupture et tout ça par la faute et l’entêtement du (G.M.) mais on le sait depuis Matthieu (XV,14) : « Si un aveugle<br /> guide un aveugle, les deux tomberont dans un trou ».<br /> <br /> <br />
Répondre
R
<br /> <br /> Oui, nous sommes d'accord.<br /> <br /> <br /> <br />
E
<br /> Qui peut confirmer ces 2 rumeurs diffusées sur le blog La Lumière ?<br /> <br /> PAR RAHMI94 LE 4 MAI 2011 21 H 59 MIN<br /> A AlexP<br /> 1. STIF avait peut être fait prêter serment dans son bureau du 03ème étage en catimini, loin de la lumière…<br /> 2. Quant à l’action de Me LEGRAND, il a été dit qu’elle perçoit 82000 euros de la GLNF par mois pour la gestion…<br /> <br /> <br />
Répondre
R
<br /> <br /> Tout cela est possible.<br /> <br /> <br /> <br />
E
<br /> Une grande calamité, Mes BAF, a frappé la Maçonnerie et c’est à ses propres enfants qu’elle doit les malheurs qui l’accablent !<br /> En dehors de toute légalité profane et maçonnique, le frère François Stifani nomme sur Ordonnance des cadres qui sont censés diriger de notre vénérable institution.<br /> Ces nominés, dans leur grande naïveté, prennent tout cela au sérieux, et se prêtant au jeu, sont prêts à utiliser les locaux de la G.L.N.F. pour procéder à un simulacre de cérémonie de serment.<br /> Les laisserons –nous faire ce sacrilège qui bafoue nos croyances les plus intimes ?<br /> Mes frères de la région parisienne, nous vous en conjurons, empêchez cette provocation.<br /> Faites un piquet de grève à l’entrée de Pisan pour interdire l’accès aux félons.<br /> Et vous mes frères de tous les Orients, organisez une chaîne d’union, solide rempart contre les vicieux.<br /> Vénérables Maîtres, Officiers de la Loge, interdisez l’accès à tous les renégats qui pourraient infecter vos frères du virus du parjure.<br /> Grands Maitres des ateliers de perfectionnement, refusez d’installer les nouveaux promus dans des chaires usurpées, il y va de votre crédibilité et de l’avenir des ateliers.<br /> Boycottez, mes frères, toute cérémonie d’installation des soi-disant nouveaux G.M.P. ou O.P.<br /> Le mot d’ordre est 0 participants à ces vides pantomimes.<br /> Ne vous laissez pas aller au piège de la charité ou de la compassion devant des individus qui sont vos bourreaux.<br /> Resistez mes frères, n’ayez pas peur, c’est ainsi que nous gagnerons car ce sont eux qui ont tout à perdre.<br /> Exigez de Maître Legrand la tenue urgente d’une assemblée générale de l’association !<br /> <br /> <br />
Répondre
R
<br /> <br /> Pas d'agitations inutiles car il cadenasse tout et se rit de nos incohérences.<br /> Retour aux sources en revenant aux statuts de 86. Contre cela, en l'état actuel du marasme, il ne peut rien.Ni lui, ni ses sous-marins et autre porteurs de vestes reversibles.<br /> <br /> <br /> <br />
I
<br /> BAF du Myosotis Septimanie<br /> J'admire encore votre combativité, malgré toutes les incertitudes que sait gérer l'ex Grand Machin, que tous essaient de déloger à coup de fourchette à escargot.<br /> En 1789, la Révolution s'est faite avec des fourches, des pieux à empaler et autres outils primitifs mais efficaces.<br /> Actuellement, il ne s'agit que d'un combat judiciaire, au nom de quoi : ....?<br /> Maintenir la reconnaissance des anglais, ce qui empêche toute initiative pour virer le gourou. Lui il sait où il va, c'est son job.<br /> <br /> La lettre d'AJ m'a fait craquer, lui qui sait , ou qui devait savoir tant de choses , lui qui ne s'est manifesté qu'après 15 mois, POURQUOI ? Il avait les moyens d'actionner le siège éjectable, car<br /> au plus près du saint des saints; pourquoi avoir attendu ????<br /> Et pour ne rien dire de plus, sauf faire une proposition bidon à Stif.<br /> Donc je suis parti, je ne crois plus en la GLNF.<br /> L'ambiance dans les ateliers va devenir intenable, et cela commence déjà, j'en ai été le témoin. Qu'en sera-t-il quand il faudra promouvoir ou soutenir un candidat GM, il y en a tellement qui<br /> postulent en plus de la bande de Pisan.<br /> <br /> Demain, toujours demain, et quand rase-t-on gratis?.. ah! demain..ok!<br /> Cette situation ne peut plus durer, et malheureusement je la pressens perdurer.<br /> <br /> Par contre demain, je ne sais quand, mais ce sera sûr demain, car demain je pourrai toujours et encore dire demain, je lèverai encore un petit bout de l'anonymat en ajoutant un chiffre<br /> supplémentaire(à la place des petits points).<br /> Je me sens LIBRE à nouveau.<br /> Tenez bon mes FF, votre combat est juste, mais prenez garde à ne pas vous user prématurément en escarmouche. Il faut une nouvelle obédience, et cela emmerderait la GLUA de maintenir sa<br /> reconnaissance à ceux qui de près ou de loin (c'est à dire Stif et ses potes) ont conduit la GLNF là où elle se trouve actuellement.<br /> A demain mes BAF, à demain...<br /> Indiana Jones, ex 483..<br /> <br /> <br />
Répondre
R
<br /> <br /> Un grand merci pour tes encouragements.<br /> J'espère que GLNF86 sera plus qu'une fourchette à escargots.<br /> <br /> <br /> <br />